Il avait besoin d'un job d'été. Le genre de boulot pas très épanouissant mais qui permet de payer ses vacances. Le voilà dans une fabrique, à jouer à l'ouvrier de seconde zone. Les premiers jours n'étaient pas facile, beaucoup de pression sur les épaules. Mais aujourd'hui il est tout seul dans le local. Les patrons sont pas là, c'est l'occasion d'en profiter et de se faire une pause bien agréable en se tapant une queue à l'aise. Bien posé, la main pleine de ferveur, il astique et fait transpirer son corps musclé, ses boules et son gland moite. Giclée exhib au milieu des machines : ni vu ni connu, les bourses sont vidées !